Faut il croire en la science ?
NB :
Indiquer plus clairement les thèses défendues, être plus explicite. Revenir plus souvent au sujet lui même : « étant donné ce que nous venons de dire, on peut dire que… » Argumenter en son nom propre, mener sa barque. Introduction trop sommaire, bien conduire les analyses décisives, la problématique vient trop vite.
Croire en c’est croire en la parole, en la foi, avoir confiance. Bien différencier science ancienne et moderne. Tendances au hors sujet ou sous sujet. Dimension théorique et pratique du « croire en ».
« Croire en » la science qu’est ce que cela veut dire ? Nécessité morale à croire dans les apports de la science pour l’humanité. Croire en ce que la science peut apporter à l’humanité. Nécessité. Mais il faut aussi penser au possible. On pourrait peut être y croire, conditionnellement, en posant des conditions. Pouvoir y croire est plus possible que devoir y croire.
1er sens Faut il tenir pour vrai ?
2e Adhérer subjectivement sans preuve. Contradiction conceptuelle entre croire et science.
3e l’adhésion subjective avec conscience de l’incertitude. Considérer comme vraisemblable, plus ou moins probable. L’adhésion est donc critique, lucide, réflexive.
Sur le plan morale le fait de se fier, d’avoir confiance. Confiance dans les capacités, dans la probité du discours du savant. La foi en parallèle avec la croyance en Dieu. Je peux croire en la science comme s’il s’agissait d’une attitude religieuse, la science pour sauver, guider l’humanité.
Tenir pour vrai ce que la science nous dit, adhérer subjectivement sans preuve, adhérer avec conscience plus ou moins claire du mode d’adhésion, confiance dans ce qu’elle fait et peut encore faire dans l’avenir, avoir foi dans ce que la science peut nous apporter.
Les présupposés logiques. On y a sans doute cru puisque l’on demande. Présupposés chronologiques ou culturels. Qu’on n’y croit peut être plus vraiment. Que la relation de confiance est