Commentaire de texte sur Fénelon, Les aventures de Télémaque François de Salignac est né le 6 aout 1651 au château de Fénelon à Sainte-Mondane, mort le 7 janvier 1715 à Cambrai, est un homme d'Église, théologien et écrivain français. Il a écrit en 1699 les Aventures de Télémaque ressemble à une imitation de l’Odyssée d’Homère et de L’Enéide de Virgile. Il a écrit se livre pour servir à l’éducation du duc de Bourgogne. Ce livre relate les aventures de Télémaque, à la recherche de son père Ulysse. Le jeune prince, accompagné de la déesse Minerve apparaissant sous les traits du sage mentor. Lors de son parcours il affronte des situations qui lui permettent de le former à l’exercice du pouvoir. Il s’agit d’un extrait tiré du septième livre. C’est un texte descriptif qui constitue une pose dans le récit. Le passage parle d’un homme nommer Adoam qui conte aux voyageurs un pays extraordinaire, la Bétique. Nous observerons comment Fénelon développe une argumentation didactique pour son élève. Dans un premier temps Fénelon décrit un paradis des temps anciens, puis il dénoncera la société dans laquelle il vit en utilisant un diptyque.
Fénelon commence tout d’abord par nous présenté une terre merveilleuse dans l’esprit d’Homère, mais il nous fait la présentation d’une carte géographique antique. Il dit que le « fleuve Bétis » au nom du territoire, la Bétique. Il fait référence aux colonnes d’hercules qui sont dans l‘antiquité les montagnes qui bordent du côté de l’Europe et du côté de l’Afrique. Il décrit ensuite les conditions climatique du pays en disant que « les hivers y sont tièdes » et que « l’ardeur de l’été y est toujours tempérée » il montre la clémence du temps qui appuis sur l’aspect paradisiaque du pays. Il finit en caractérisant les vents à l’aide d’une métaphore, en disant que les aquilons ne soufflent jamais dans ce pays mais que les zéphyrs des vents doux et tièdes laissent une fraicheur toute l’année et que ce n’est qu’heureux hymen de