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Le principe d'égalité inscrit dans la loi n’est aujourd’hui que virtuel car non appliqué[réf. nécessaire]. Pourtant des mesures sont prises, le code du travail ainsi que la plupart des textes de lois français affirme les égalités. Par exemple, en 1997, le traité européen d'Amsterdam a imposé à la France, comme aux autres pays de l'Union Européenne, de mettre en place une politique active de lutte contre les discriminations de toute nature, et notamment contre les discriminations raciales. La loi du 16 novembre 2001 constitue à cet égard un début de réponse en spécifiant dans son Article premier que « aucune personne ne peut être écartée d'une procédure de recrutement ou de l'accès à un stage ou à une période de formation en entreprise, aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, notamment en matière de rémunération, de formation, de reclassement, d'affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de contrat en raison de son origine, de son sexe, de ses mœurs, de son orientation sexuelle, de son âge, de sa situation de famille, de son appartenance ou de sa non appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation ou une race, de ses opinions politiques, de ses activités syndicales ou mutualistes, de ses convictions religieuses, de son apparence physique, de son patronyme ou, sauf inaptitude constatée par le médecin du travail dans le cadre du titre IV du livre II du présent code, en raison de son état de santé ou de son handicap », mais en réalité les lois n'ont que peu d'influence sur la politique de recrutement des entreprises. Cette réalité montre que des actions volontaristes sont indispensables pour créer une dynamique en la