Fiche, berstein économie en mutation
Durant le dernier quart du XXe, les conceptions directrices et les formes d’organisation et de gestion de l’économie se sont profondément transformées sous l’effet d’une pensée néo-libérale triomphante et de progrès techniques qui s’épanouissent dans un cadre planétaire. Cette nouvelle éco mondialisée repose sur un système productif qui associe de plus en plus la production et les services qui l’accompagnent, en relation avec une restructuration profonde des entreprises (etp).
La mondialisation financière correspond à un capitalisme (Ksme) tourné vers la recherche d’une croissance forte qui épuise les ressources nouvelles et l’exigence d’un maximum de profit souvent en contradiction avec les acquis collectifs assurés par les Etats providentiels mis en place depuis 1945, notamment en Europe. Les opinions publiques réagissent à cette évolution en aspirant à une forme différente de mondialisation qui prendrait les exigences du dvpt durable.
Les facteurs de rénovation du capitalisme
Le triomphe du néo-libéralisme (néolbsme) économique • Le néolibéralisme s’est développé depuis les 70s à partir d’une critique des idées et pratiques keynésiennes qui se révélaient peu efficaces ds la lutte contre la crise de stagflation • Promu par les économistes de l’école de Chicago, ce renouveau du libéralisme a préconisé des politiques économiques fondées sur : 1. le monétarisme (intervention de l’Et limitée à une gestion rigoureuse de la création monétaire) 2. l’éco de l’offre qui donne la priorité à la production qui doit être favorisée par une diminution des contraintes entravant l’initiative privée (déréglementation) et par un allègement des charges (salariales, fiscales, sociales) pesant sur les entreprises et les épargnants. • Les néo-lbx prônent l’extension du libre-échange pour les marchandises et les services, et une totale libération des mvts de