Fiche Expo Marie
L’air que nous respirons tous les jours est constitué à 99% d’azote et d’oxygène, 0,9% d’argon, et d’autres gaz présents à l’état de trace. L’air que nous respirons peut être perturbé par la présence de composés chimiques supplémentaires, sous la forme de gaz ou de particules, et en des proportions qui pourraient avoir des conséquences néfastes sur la santé humaine et l’environnement. Ils proviennent de nos activités humaines et parfois de phénomènes naturels. Cette perturbation se traduit par la notion de pollution atmosphérique. En France, la mauvaise qualité de l’air est encore très visible. Comment est surveillé la qualité de l’air en France ?
L'Indice de la qualité de l'air (IQA) est une indication numérique de la qualité de l'air en Ontario. Plus l'indice est faible, plus la qualité de l'air est bonne.
Le ministère de l'Environnement communique plusieurs fois par jour à tous les principaux médias l'IQA de nombreuses localités en Ontario établi grâce aux données du réseau de stations de surveillance de l'air. Pour établir l'IQA, le ministère mesure la concentration dans l'air de six polluants de l'air : le dioxyde de soufre l'ozone au sol le dioxyde d'azote les composés de soufre réduit total = pas d’effet nocif pour la santé, juste une odeur désagréable le monoxyde de carbone =Le monoxyde de carbone s'introduit dans le courant sanguin et entrave la diffusion de l'oxygène dans les organes et les tissus. Les personnes qui souffrent de maladies cardio-vasculaires sont les plus menacées. les particules fines = peut entraîner l’hospitalisation et divers troubles graves de la santé, voire le décès prématuré. Les personnes souffrant d’asthme, d’une maladie cardiovasculaire ou respiratoire, ainsi que les enfants et les personnes âgées sont les plus sensibles aux effets des particules fines
Le ministère cible ces polluants parce qu'ils nuisent à la santé et à l'environnement lorsqu'ils sont présents en forte