fight club

2463 mots 10 pages
Article
« L’ère du soupçon festif »
Ouvrage recensé :
Fight Club, réalisé par David Fincher, scénario de Jim Uhls, 20th Century Fox, 1999,
139 minutes

par Maxime Prévost
Spirale : arts • lettres • sciences humaines, n° 185, 2002, p. 23-24.

Pour citer cet article, utiliser l'information suivante : http://id.erudit.org/iderudit/17888ac Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir.

Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/

Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à
Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998.
Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : info@erudit.org

Document téléchargé le 2 novembre 2015 12:00

DOSSIER
Le

festif

L'ÈRE DU SOUPÇON FESTIF
[FIGHT CLUB film
Film réalisé par David Fincher, s c é n a r i o de Jim Uhls, 2 0 t h C e n t u r y Fox, 1999,139 m i n u t e s .

L

E FILM Fight Club, qui est sorti sur nos écrans à l'aube du nouveau millénaire et a rapidement obtenu le statut defilmculte, présente plusieurs points d'intérêt, le principal étant sans doute de s'inscrire dans un courant bien actuel de l'imaginaire social, et d'en objectiver certainesfiliationset tendances. Ce film de David Fincher est au festif ce que le cauchemar est au rêve, et la rupture à l'idylle.

Dormir à poings fermés
Le protagoniste de Fight Club — comme nous n'apprendrons son nom qu'à la toute fin du film, appelons-le pour l'instant Machin (Edward
Norton) — est un employé en pleine ascension sociale. Jeune cadre d'une compagnie d'automobile, il habite un

en relation

  • Analyse de l'ouverture d'une séquence de l'ouverture d'un film
    813 mots | 4 pages
  • Commentaires Critiques Philo
    1363 mots | 6 pages
  • L'énonciation dans fight club
    3563 mots | 15 pages
  • Analyse séquence "requiem for a dream"
    1103 mots | 5 pages
  • Fight club
    800 mots | 4 pages
  • Fight club
    651 mots | 3 pages
  • Fight club
    1124 mots | 5 pages
  • fight club
    271 mots | 2 pages
  • Fight club
    18794 mots | 76 pages
  • Fight club
    2643 mots | 11 pages
  • Le parrain 2
    1319 mots | 6 pages
  • Fight club
    2175 mots | 9 pages
  • Jared leto
    1320 mots | 6 pages
  • fight club
    940 mots | 4 pages
  • Bts audiovisuel
    2849 mots | 12 pages