À Madame Dambrine

Dans votre lettre vous soutenez que la nature soit au service de l’homme depuis le début des temps et que les premiers habitants de cette planète aient été abrités et vêtus de peaux de bêtes et qu’ils aient été nourris de leur chair.

Pour ma part, il est carrément inacceptable que vous pensiez toutes les choses que vous dites. Vous affirmez que comme cette pratique est si ancienne, elle soit correcte, mais cet argument est incohérent parce que il y a eu tellement des atrocités dans l’histoire qu’on ne pas continuer à faire ou répéter ça.

Vous soutenez que la pollution soit le principal problème de notre terre. Nous pourrions tous être végétariens, nous vêtir de polyester et renoncer à la chasse et à la pêche. Si bien, ceci ne réglerait le principal problème de notre terre, en faisant toutes ces choses et si nous renonçons à la fourrure, nous contribuerions en faire de ce monde un monde plus naturel et soutenable.

Si vous êtes contre les massacres et toutes les formes de torture, l’utilisation des peaux des animaux pour un fin esthétique est contre votre opinion, parce que se sont des idées incongrues.

Ce n’est pas surprenant pour moi que vous soyez en faveur de cette pratique étant donné que c’est votre manière de gagner de l’argent et de vivre, mais il est nécessaire que vous changiez votre mentalité parce que ça serait bienfaisant pour les gens, les animaux et le monde où nous habitons.

Si nous arrêtons de nous vêtir de fourrures, la raison d’être des animaux sûr notre planète serait la même raison qu’il y avait avant de commencer avec cette pratique. Les animaux sont des habitants de ce monde comme les humains, même si nous ne nous bénéficions économiquement d’eux.

Miguel Ramón Zaldívar