Fran Ais 1914
Les moustiques deviennent bleus à la fin d’été dans cette région française puis on les compare aux avions françaises du militaire
Modèle Farman F 37; le pilote s’appelle Alfred Noblès et l’observateur est Charles Sèze, le frère d’Anthime. Ils sont à peine formés et ils ont le consigne d’observer ce qui se passe sur le sol
Il fait vraiment chaud sauf dans le ciel, donc les deux hommes sont habillés pour une température plus fraise -> casque, lunettes de protection, vêtements fait du lapin et de la chèvre (en plus d’être caoutchoutée) et du cuir, les souliers sont fourrés
Ils essaient de parler mais les exclamations sont assourdies par le moteur
Les armes ne sont pas chargées et la mitrailleuse de bord n’est pas opérationnelle (Charles a quand même un fusil d’infanterie) parce que les avions n’étaient jamais utilisé dans un but militaire
Un Aviatik qui s’en vient vers le Farman apparaît sur l’horizon, les deux se chassent; l’Aviatik glisse en-dessous du Farman puis remonte brusquement -> cela garantit l’exposition du Farman -> L’Aviatik part son fusil -> Alfred est touchée par une balle
Le Farman s’écrase avec Charles
Chapitre 8
Anthime et l’infanterie sont rendus à Maissin
Après avoir entendu le canon pour la première fois, les gars ont compris qu’il faut se battre
Sur le champ de bataille, Anthime et ses amis ne savent pas trop quoi faire; l’orchestre et les musiciens di régiment commencent à jouer et tiennent leur partie dans le combat
Les ennemis étaient cachés dans le bois et ils ont empêché la troupe de progresser
Quand les hommes pas loin d’Anthime commencent à tomber, les gars tentent de tirer sur ce qui semblait hostile et chercher une cachette
les premiers rangs d’infanterie se sont risqués ouvertement dans l’étendue d’avoine -> ont reçu aussi des balles tirées par leurs propres forces à cause du désordre dans les rangs
artillerie française est arrivée trop tard -> le soir ils ont réussi de refouler