Francais analyse Volvodine
1. Situation du passage :
Le narrateur rentre chez lui, il habite dans un bâtiment partiellement détruit. Lorsqu’il arrive au 9ème étage il passe devant l’appartement de Babaïa Schtern, une grosse femme, qui vit ici depuis 5 mois. On apprend que ses fils viennent lui faire sa toilette ou la gaver. Elle ne fait rien de ses journées à part attendre de voir quelqu’un passer.
Grace à l’autre narrat, le 35 : Rachel Carissimi, on en sait un petit peu plus sur le quartier où se déroule l’histoire. On apprend que sur la berge méridionale un cœur atomique est en feu depuis plus de 3 siècles, on peut donc penser à un accident nucléaire comme on voit à la ligne 9 : « […] les vapeurs radioactives se sont dispersées […] », ce qui expliquerait l’état de la maison dans laquelle vivent le narrateur et la Babaïa.
Si l’on essaie de situer se passage par rapport à sa date, on peut penser que l’histoire se passe dans le futur. Car les chevaux n’existent plus : lignes 17-18 « Comme autrefois dans les box d’écurie, au temps où il y avait des chevaux » tout comme les hippopotames : ligne 23 « comme autrefois les hippopotames », ainsi que l’Afrique : lignes 22-23 « au temps où il y avait l’Afrique ».
2. Divion du passage
Première partie : lignes 1-27 « Narrateur »
Le narrateur décrit l’histoire à la première personne : Je.
Deuxième partie : lignes 28-54 « Babaïa »
Le narrateur utilise maintenant la troisième personne pour nous raconter le traitement de Mme Schtern par ses fils.
Troisième partie : ligne 55-99 « Solitude »
Dans cette partie le narrateur nous décrit la solitude que vit la pauvre femme.
3. Point de vue du narrateur :
Premièrement nous ne savons pas qui est le narrateur, il n’y a aucune allusion pouvant nous donner un indice. Par contre ce que nous savons c’est que nous avons un narrateur-personnage interne au récit. Au début il parle à la première personne du singulier. Ensuite dans la deuxième partie il passe à la troisième personne du