Yohann Wyssbrod 206

Dissertation français

« Tout est bien qui fini bien » dit le bon sens. En effet, les lecteurs apprécient les histoires se terminant de maniére heureuse car elles sont plus agréables à lire qu'une fin malheureuse d’ailleurs le succès des films hollywoodien, les « HappyEnd », ou les contes de fée en sont un bon exemple. Mais ce n'est pas pour autant que les histoires aux fins malheureuses ne sont pas intéressantes de plus la littérature regorge d’histoire aux fins malheureuses comme « La parure », une nouvelle de Maupassant qui a connu un franc succès. On peut alors se demander s'il faut qu'une histoire se termine bien pour qu'elle soit bonne ? On peut d'un côté penser que les fins heureuse font les bonnes histoires cependant on peut s'interroger sur la vertu des fins malheureuses. Enfin on cherchera a définir ce qui fait précisément une bonne fin.

Tout d'abord on peut penser qu'une bonne histoire doit bien se terminer car elle est plus optimiste, elle permet de donner une leçon ou elle permet encore de faire triomphé une vision du monde. Dans un premier temps, les histoires aux fins heureuses sont effectivement plus agréables à lire et elles sont plus optimistes pour le lecteur. En effet, en prenant l'exemple de célèbres contes de fée tel que « Cendrillon »(Un conte de Charles Perrault qui raconte l'histoire d'une fille dont la mère est morte. Son père va alors se remarier avec une femme odieuse tout comme ses deux filles qui injure à longueur de journée la pauvre fille qu'elles surnomment Cendrillon en rapport avec les taches ménagères qu'elles pratique. Un jour, le roi invite toutes les jeunes filles du royaume pour marier son fils. Cendrillon n'est pas invité au bal mais elle si rendra à l'aide d'une fée. Le prince va alors choisir la malheureuse Cendrillon comme épouse.) ou encore « Peau d'âne » qui sont deux