Pour commencer, nous pouvons constater que Maupassant met en lumière une vision vraisemblable de la réalité qu’il a ciblée, associée à la société bourgeoise de la fin du XIX e siècle. En effet, la vraisemblance de l’histoire est évoquée par l’identification de lieux réels. Tout au long du récit, cet auteur utilise des lieux tels que : « plaine de Nanterre » (p.163), « rue des Martyrs » (p.165), « la Seine » (p.165), « Champs-Élysées » (p.170). À la suite de l’identification de ces lieux, nous comprenons que ces endroits son réels et qu’ils se trouvent dans la ville de Paris, où se déroule la nouvelle. Donc, nous n’avons aucun mal à nous faire une image précise de Paris. Aussi, nous pouvons constater l’importance de la vraisemblance dans cette histoire puisqu’elle nous permet de comprendre l’endroit où se passaient les événements. Ainsi, l’identification de ces lieux, qui était présent à la fin du XIX e siècle, démontre la vraisemblance de la nouvelle.

Par la suite, la vraisemblance de ce récit est évoquée par l’identification du temps qui nous permet d’identifier le moment où se déroulait cette histoire. En effet, tout au long de cette œuvre, Maupassant utilise plusieurs marqueurs temporels tels que : « lundi 18 janvier » (p.162), « le jour de la fête approchait » (p.163), « le lendemain » (p.164), « au bout de dix ans » (p.170). En fait, à la suite de ces exemples, l’auteur montre la description précise du temps qui permet au lecteur de mieux se situer dans l’histoire. Ces marqueurs temporels apportent au récit une vraisemblance et fait de son œuvre une histoire possible. Aussi, nous comprenons que l’auteur écrit son récit d’une manière chronologique afin de comprendre les événements réels qui se déroulaient à cette époque. Il apparait donc que Maupassant, par le biais de plusieurs illustrations, met en lumière sont point de vue sur la vraisemblance de cette histoire, associé à la société bourgeoise de la fin du XIX e siècle.

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