Scène Repas

En quoi cette scène est-elle frappante de réalisme?

I. Le Réalisme d'une scène populaire

a. Une scène facile à Visualiser
Narrateur: gros plans bref sur chaque convive, les plus longs sur Gervaise et Coupeau. Chacun saisit dans une attitude mais jms deux fois on revient sur la personne: successivité.
Pt de vue de tout le monde mm celui du narrateur: -pt de vue interne: regard de Goujet (l10-11): vision pos de G mais (l4) regard neg sur elle des autres. -pt de vue externe (l50/52): regard peu complaisant du narrateur sur les perso.: intensifs «si rouges» (l51) «barbouillé»(l50) comparaison l51-52 + termes pejo.

b. Une scène sonorisée
=> Brides de conversation: style indir et indir libre + 3niveaux sonores voix indiv: - reflex int de Goujet (l10-11) – le juron de Coupeau (l 33) – réprimende de Poisson (l29/32) voix collective: - passage de la carcasse (l22-23) -(l43-43 «ah non de dieu» + «on»)
Voix du narrateur : juge perso. Métaphore (l48-49): ironie + on avance dans le roman, + language populaire.

c. Caractère populaire de cette scène
Dénotation de termes qui deviennent familiers dans leur bouches + maximes populaires

II. Une scène de dévoilement

A. Essaie de psyco sommaire
Etude de caractère des perso gràce aux choix des morceaux et de manger
G (l5) = gourmandise => insistence sur ce trait Pere Bru (l16 relative): passif: subit nourrit comme les évnmnt de sa vie
Les Lorieux (l20 engloutit): jalousie
Les 3 commères (l23/24): curiosité malveillante maman coupeau (l25) avidité
Virginie (l26) erotisme + rival de G par / à Lantier
Coupeau (l38 + cc «toute la nuit»): exces sans modération de ses appétits
Clemence (l40) vulgaire
Etude + détaillée de G: (l8) comparaison + quali gloutonne, gourmande (l14), plu(l5) => quantité, attitude vorace (l5/6). Incapable de freiner sa gourmandise, passive sur le regard des gens

B. Dévoilement des sentiments
Bouget exprime pas à G (l10-11 expression