Français nico
Cette œuvre me paraît très bien représenter le corpus de poèmes. On peut voir plusieurs représentation de montres qui coulent, fondent, que l’on peut associer à la décomposition mais aussi au manque de temps, que le temps nous échappe, nous glissent entre les doigts et qu’il faut profiter de le vie, comme l’annonce le locuteur à sa bien aimée dans le poème de Baudelaire « Une charogne ».
Au premier plan on aperçoit un objet avec une montre, que l’on peut associer à une charogne, on peut voir que la montre fond, se décompose, ce qui nous renvoi à l’idée de la mort : Le temps est intervenu dans la vie et a ainsi entrainé la mort. On peut associer cette charogne au poème de Baudelaire « Une charogne ». Cet objet, assimilable à une charogne, est situé dans un espace d’ombre, on peut penser que le soleil est entrain de disparaître, un coucher de soleil comme un adieu à la vie, la lumière synonyme de vie et de prospérité. Ce qui nous renvoi au poème de Ronsard, je cite « Adieu plaisant soleil… ». Sur la gauche, on peut voir un arbre, mort, sans feuilles ni fleurs, sans les « roses de la vie », nous sommes encore en présence d’un renvoi à l’idée de la mort et toujours une montre qui nous rappelle que le temps mène tout droit à la mort, que cette route est à sens unique. Un destin inévitable.
Cette œuvre nous renvoi par plusieurs détails à l’idée de la mort, la décomposition, l’adieu à la vie… Les thèmes principaux des poèmes du corpus