THE NEW YORK TIMES
''Nous étions dans une galerie d'art qui avait pour thème '' Mythes et tragédie grecque ''. En tant que critique d'art, je me suis arrêté sur une peinture intitulée Antigone conduit Œdipe. On m'a alors permis de publier ma critique. ''

Antigone: Au bras de son propre père, le regard braqué sur les personne qui l'entoure, c'est comme ci elle se défendait avec son regard, comme un face à face avec toutes ces personnes qui l'entoure. Elle est très proche de son père. Sa main est sur le poignet de celui-ci, pour lui faire comprendre qu'elle est présente avec lui. Ses vêtements sont de soie, ce qui montre que en effet, elle fait partie d'une famille que l'on pourrait décrire comme royale. Elle est la seule femme du tableau qui n'est pas fortement dénudée.
Oedipe: Même avec les yeux crevés, Œdipe reste protecteur avec sa fille. Il cherche le contact avec elle. Il est perçu comme un roi incestueux ou encore, un meurtrier. Tout deux provoquent le dégoût. Même cette femme allongé au premier plan, qui appartient probablement a classe inférieur ose montré Œdipe, qui est le roi de Thèbes, avec le doigt. La lumière du tableau met en évidence Œdipe et Antigone, ainsi que le temple. Les personnages autour sont en effet apeurés à la simple vue de ce duo. Ils partent tous dans la direction inverse, les regarde d'un mauvais œil et n'attendent qu'une chose: Que Œdipe quitte enfin Thèbes. Les nuages noires peuvent nous faire penser aux Ténèbres, comme ci un orage s'apprêtait a envahir Thèbes alors que Œdipe fait son apparition en sortant du temple. Lorsque l'on se trouve devant ce tableau, on pourrait croire être présent au milieu de tout ces personnages car, en effet Œdipe et Antigone avancent vers nous, et c'est cet effet qui nous donne envie de se retrouver devant ce tableau.