Freud

531 mots 3 pages
PHILOSOPHIE

Dans son texte, Freud nous parle de la liberté de l’individu dans sa civilisation ainsi que les restrictions, appliquées sur cette dernière, venant de la communauté humaine qui entoure cet individu. Comment parler de liberté dans une société qui, par ses règles et ses lois, nous pousse à la partager, afin que chaque individu soit libre au même titre l’un que l’autre ? Cependant, Freud nous montre également que, malgré ces restrictions et cette liberté partagée, des tendances hostiles à la civilisation se sont crées, venant d’un reste de l’individualisme indompté. Peut-on alors parler d’égoïsme ? Si chaque individu ; voulant protéger sa liberté, et l’élever à son maximum, c’est-à-dire de l’extraire des restrictions de la société, en ignorant donc les répercutions de ces actes sur la liberté de la communauté ; faisait ce qu’il désire, le partage de liberté n’existerait alors plus. Tout d’abord, Freud nous montre que, avant l’existence de toute civilisation, la liberté était la plus grande car sans civilisation, autrui est inexistant ce qui entraîne donc à supprimer tout partage de liberté. Egalement, sans civilisation, aucune lois, aucune règles, n’impose ni n’engendre de restrictions. Donc, la civilisation serait-elle mauvaise pour la liberté de chacun ? Ensuite, un développement de la civilisation va débuter, ce qui va entraîner à partager cette liberté avec d’autres individus. Cette civilisation va également faire naître un Etat, qui va lui-même engendrer des lois et des restrictions qui vont permettre cette équité de liberté entre les individus. Cependant, tout individu a la liberté de se révolter en sentant une injustice évidente, pour cette dernière. Enfin, Freud nous montre que, malgré ces restrictions et ce partage équitable de la liberté entre chaque individu, un reste d’individualisme indompté peut ressortir, sous forme de révolte par exemple, d’un individu. Alors l’individualisme de chacun ne serait pas effacer par ce partage, mais

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