Freud

817 mots 4 pages
D’après Freud, le surmoi d’un jeune garçon est presque entièrement basé sur la figure de son père. Un père est pour un jeune garçon le plus grand model qu’il peut avoir. Dès leur plus jeune âge, les jeunes garçons veulent tout faire pour ressembler à leur paternel ainsi qu’être accepté par celui-ci. L’enfant cherche à acquérir toutes les valeurs paternelles de son père. Le jeune voit en son père l’idéal qu’il aimerait devenir plus tard. Ce jeune garçon pense tout ça de son père, jusqu’à ce qu’il arrive à l’âge où son père devient une sorte de rival. Le père n’est plus le meilleur ami du fils puisque maintenant le fils est rendu à l’âge où il faut lui instaurer des règles à suivre afin qu’il réussisse bien dans la vie et qu’il soit bien élevé. Le jeune homme se rend alors compte que son père n’est pas seulement un modèle mais également quelqu’un qui va juger tout ce qu’il va faire et lui imposer des règles. L’enfant remarque également que plus il vieillit, plus il doit faire des choses pour mériter l’amour et le respect de son père. Le père est une menace qui peut punir son fils s’il en est nécessaire, mais l’enfant développe le fantasme de force imaginaire alors teste les limites du père. Malgré cela, l’enfant du père a à ses yeux un caractère parfait, c’est la chose la plus belle dans sa vie. L’enfant voyant qu’il est idéal aux yeux de son père commence à faire à sa tête et devient égoïste, il voit son père comme une rival en ce qui concerne sa mère et tous les autres personnes qui l’entourent. Son père agit donc en conséquence et lui apprend alors le partage en lui disant que son égoïsme ne fait pas la lumière dans le monde et qu’il doit apprendre à vivre avec les gens. Le surmoi du jeune garçon était également basé sur la religion au Moyen-Âge, car le père obligeait l’enfant à aller à l’Église. Mais au fil des années, on arrêta de vivre pour Dieu et on se tourna vers la raison. Ce régime consistait au développement psychologique de l’enfant. Le père imposait sa

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