Freud

878 mots 4 pages
FREUD dans Lettre à Einstein montre que le droit est la force et le maintien d’une communauté. Il constate, dans un premier temps, que la violence est toujours présente dans le cas de chaque individus ( l1-l4) mais aussi s’installe une violence collective qui correspond à celle de la communauté (l5-l7). Ensuite, il réfléchit sur la condition psychologique nécessaire au bon fonctionnement de la communauté et surtout au maintien de celle-ci. (l7- l19) Les problèmes posés sont quelles conditions sont requises et pourquoi faut-il des conditions psychologiques pour avoir une société durable ? L’opposition de la nature humaine et la nature politique est aussi posée ainsi qu’une réflexion sur les identifications nécessaires pour s’attacher à un état ayant comme but de solutionner le problème de la violence entre individus.
Dans la première partie du texte (l.1-7) Freud est persuadé que la violence cesse quand un groupe de personnes, une société, se réunit. Dans le proverbe « L’union fait la force » (l1), le terme « force » n’est plus utilisé individuellement mais rassemble un collectif. Il ne s’agit plus d’utiliser chacun sa force et sa violence contre les autres, sinon de l’assembler et de la mettre au profit des autres. C’est le principe de « l’état de nature » de Hobbes. Un individu est naturellement violent et ne parvient à trouver la paix que dans une société qui unit la force individuelle de chaque individu. Freud fait référence à la pensée de Hobbes lorsqu’il dit « à la violence d’un seul ». Il oppose le droit et la violence (l2) puisque Freud pense que l’union de la société crée le droit. C’est ainsi que la force violente se transforme en droit d’une communauté qui reste unie. Or, la violence persiste toujours mais elle est contrôlée par un état créant des lois et des droits. Ceci est le contrat social, une réunion d’individus qui acceptent de vivre en société et de renoncer à une partie de leur liberté en échange de leur sécurité. Il est donc clair pour Freud

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