Freud
Dans la première partie du texte (l.1-7) Freud est persuadé que la violence cesse quand un groupe de personnes, une société, se réunit. Dans le proverbe « L’union fait la force » (l1), le terme « force » n’est plus utilisé individuellement mais rassemble un collectif. Il ne s’agit plus d’utiliser chacun sa force et sa violence contre les autres, sinon de l’assembler et de la mettre au profit des autres. C’est le principe de « l’état de nature » de Hobbes. Un individu est naturellement violent et ne parvient à trouver la paix que dans une société qui unit la force individuelle de chaque individu. Freud fait référence à la pensée de Hobbes lorsqu’il dit « à la violence d’un seul ». Il oppose le droit et la violence (l2) puisque Freud pense que l’union de la société crée le droit. C’est ainsi que la force violente se transforme en droit d’une communauté qui reste unie. Or, la violence persiste toujours mais elle est contrôlée par un état créant des lois et des droits. Ceci est le contrat social, une réunion d’individus qui acceptent de vivre en société et de renoncer à une partie de leur liberté en échange de leur sécurité. Il est donc clair pour Freud