Frise chronologique histoire ( 2e gm)
Les français sont écrasés par l'horreur que cause l'artillerie. Les défenses sont complètement disloquées et broyées par les obus.
Le 25 février, Les allemands ne sont plus qu’à 5km de Verdun et se rapprochent très vite. Mais l’intense préparation d’artillerie révèle vite ses inconvénients pour les attaquants. Le terrain devient vite lunaire, parsemé de cratères gigantesques et d’obstacles. Les allemands voient leur progression considérablement ralentie.
Une strategie concluante :L’incroyable se produit. Dans les positions françaises dévastées, des survivants viennent de partout. Ils ne sont que quelques poignées, sans aucun moyen de communiquer, sans ravitaillement, complètement rendus stupides par les bruits des bombardements. La difficultés de progression des allemands leur infligent des pertes terribles, sans que ces derniers puissent adopter une tactique logique face à cette résistance complètement inorganisée. l’avance allemande est stoppée.
Importantes troupes et l'approvisionnement :Le général Pétain, demande en urgence des renforts. Le 24 février, les survivants des bombardements parviennent à rétablir un semblant de front. Il faut à tout prix éviter la rupture des lignes qui entraînerait une retraite catastrophique et la rupture tant recherchée par l'ennemi.
Petain, chef de communications :
Pétain prend la défense du secteur en main. Il met en place de l’artillerie lourde, récupéré tant bien que mal, il instaure des relèves fréquentes pour ménager les troupes. Il réorganise surtout toute la logistique. Le seul accès viable à Verdun est une ligne de chemin de fer qui se transforme en bourbier à la première pluie. A cet endroit arrivent et partent des camions d'artillerie dans les deux sens. plus de 90000 hommes et 50000 tonnes de matériel, munitions et vivres sont transportés sur cette voie que des civils pavent sans interruption.
BilanDébut mars, la première phase de la bataille de Verdun est terminée. Les allemands n’ont