Frères schneider
L’histoire du Creusot commence au XIIIème siècle avec la création de nombreuses usines; c’est à partir de la que l’on emploie le terme du «Creusot»
A cette époque , les usines du Creusot marche bien sans se différencier des autres mais finissent par faire faillite en 1833. L’année 1836 marque le reprise des usines du Creusot, totalement inactive et laissée à l’abandont, par les Frères Schneider, Joseph-Eugène et Adolphe: Commence alors plus d’une siècle de domination de la dynastie des Schneider qui, apres ses précurseurs, sera réprésentées par des descendants directs des Schneider que sont Henri Schneider et son fils Charles-Eugène.
En quelques années, les Frères Schneider vont remettre progressivement les usines en état de marche et en peu de temps, elles vont devenir ultra-productrive et vont acquérir une réputation considérable. A la base de cette réputation, les Frères Schneider sont les premiers à s’occuper de la question des locomotives et livrent ainsi la première locomotive d’origine française en 1838. L’invention du marteau-pillon à vapeur suivra peu après, permettant de meilleures forgeages de l’acier, de nouvelles dimensions et de meilleures qualités. Ces deux inventions vont permettre aus Frères Schneider d’étendre le domaine du Creusot sur une étendue totale de plus de 2000 hectares en 1851.
Les Schneider rendent également de grands services à la France en fournissant beaucoup de machines destinées à l’Armée et notamment la fabrication de canons ainsi que de navires et de sous-marins. Cette production augmente fortement lors des guerres mondiales.
Dans le patrimoine français, certaines grandes réalisations du Creusot sont encore visible aujourd’hui en France comme l’ascenceur de la Tour Eiffel.
Autre anecdote, le célèbre tramway du Mont-Blanc utilise encore aujourd’hui des rails Schneider.
Les Schneider ont également bâtit leur réputation sur la proximité des rapports patrons-ouvriers: Adolphe et