Futurisme, les avant-garde artistiques et la société industrielle au xxe siecle
1. Pour Marinetti, la modernité est semblable à la révolution industrielle. Avec celle-ci, Marinetti, crois au changement et aux hommes qui travaillent durement (l' « habitude de l'ernergie et de la témérité »), vite ( la « beatué de la vitesse) et il y a une notion de danger où il faut du « courage » et de l' « audace ». Quand Marinetti parle de vitesse dans le quatrième point, elle est polysémique :
-La vitesse du travaille en chaîne, les ouvriers
-La vitesse des machines construites (allusion à une voiture de course). De plus il y l'avènement des machines (voiture, locomotives, l'électricité, le moteur à explosion ...). Marinetti est enthousiaste, grisé, enivré par la vitesse, par les nouveaux objets "jouets", les technologie des machines, le dynamisme généré par la vitesse ... . Il est exalté par la vitesse et la modernité.
2- En quoi le futurisme peut-il constituer une déclaration de guerre contre la civilisation classique et les Lumières?
2. Il dénigre la civilisation classique et les Lumière, pour un ère de modernisme et de vitesse par rapport à « une littérature ayant jusqu'ici magnifié l'immobilité pensive, l'extase et le sommeil » et donc ironiquement il critique la pensée et l'art qui pour lui ne fait pas avancer les choses. Il y a une évocation fréquente de terme liés à l'art ou la littérature : « nous voulons chanter », « de notre poésie », « la littérature »... Mais aussi, des termes mélioratifs et beaucoup d'adjectifs et de comparaison et métaphore pour les machines qu'il cite . « Une automobile de course avec son coffre orné de gros tuyaux tels des serpents à l'haleine explosive […] rugissante, qui à l'air de courir sur la mitraille » il ajoute que cette machine pour lui est plus belle que la Victoire de Samothrace.
Ceci est une préface à un manifeste de la violence, il commence son « manifeste du futurisme » avec pudeur et ironie et fini