Germinal
Pour les ouvriers qui travaillent dans des mines, les conditions quelles qu'elles soient sont extrêmement difficiles. En effet, il faut travailler dans la chaleur puisque «la température montait jusqu'à trente-cinq degré» (l.1-2). Il y avait également un manque d'air puisqu'elle celle-ci «ne circulait pas» (l.2) ainsi que de l'humidité «ruisselait d'eau» (l.7-8). Cela entraîne une intense gène corporelle. En effet, «il était trempé, couvert de sueur lui-même, fumant une chaude buée de lessive» (l.12-13).
De plus, le manque de place se fait ressentir puisque la lampe de Maheu était «fixer à un clou, près de sa tête» (l.3-4). La galerie devient de plus en plus exigu puisque «la roche au dessus de lui» (l.6). Cela provoque également l'agacement ainsi que des engourdissemens des membres. D'ailleurs, on peut remarquer une personnification de ces gouttes puisqu'elles «battaient, s'écrasaient, claquaient» (l.7). «Il avait beau tordre le cou, renverser la nuque» (l.9-10) atteste également la petite dimension de la galerie.
De surcroît, dans la mine, le travail est individuel et monotone «Pas une parole n'était échangée» (l.17). Le bruit incessant de «ces coups irréguliers, voilés et comme lointain» (l.18-19) engendre une fatigue morale difficile à