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435 mots 2 pages
ERIC-EMMANUEL SCHMITT Lorsque j’étais une œuvre d’art
Comment rater sa vie en trois leçons ?
« J’ai toujours raté mes suicides. J’ai toujours tout raté pour être exact ; ma vie, comme mes suicides.» En voilà un qui respire la joie de vivre, le héros de notre grand Eric-Emmanuel
Schmitt, ça fait plaisir ! Notre auteur alsacien nous emmène dans un voyage palpitant et riche en émotions en écrivant Lorsque j’étais une œuvre d’art, un roman des plus étranges et des plus originaux que Schmitt n’ait jamais écrit.
Tazio est un pauvre type malheureux, qui n’a aucune confiance en lui, car ses frères sont beaux alors que lui est un laideron. Sa plus grande passion ? Tenter de se suicider. Qu’y a-t-il de plus distrayant, en effet ? Regarder le précipice qui s’ouvre devant soi, humer l’air avant de s’élancer, hésiter, se rapprocher toujours plus du bord et un jour… rencontrer un homme louche et prétentieux qui croit pouvoir vous donner l’envie de vivre en 24 heures ! Cet homme, c’est Zeus Peter Lama, L’Artiste contemporain à la mode. Il proposera un pacte à
Tazio : le transformer en œuvre d’art pour que celui-ci devienne beau et célèbre ! Un livre bizarre, vous dites !?
Je vous réponds « oui ». Et c’est bien cet aspect-là qui rend l’histoire captivante. La force de
Lorsque j’étais une œuvre d’art, c’est son histoire qui sort du commun, un côté décalé et des problématiques telles que la soumission et le bonheur. Et surtout, ce que vous aimez tous : une histoire à dormir debout, un personnage psychopathe et un héros prêt à tout pour arriver à ses fins.
Il est vrai que j’ai moi-même dévoré ce livre en peu de temps car il m’a passionnée. Je me suis notamment prise d’affection pour le personnage attachant qu’est Tazio. Le gros bêta du début évolue, au cours de l’histoire, en homme courageux et respectable, comme on les aime ! Plus on avance dans le livre, plus notre brave héros fait ses preuves et nous surprend par le changement progressif de son caractère.

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