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1292 mots 6 pages
Depuis la révolution industrielle, le rapport entre le progrès technique (qui est l’ensemble des modifications permettant d'améliorer l'efficacité du système productif, de créer de nouveaux produits ou de nouveaux procédés commerciaux) et l’emploi, n’ont cessé d’alimenter les débats et les polémiques. L’idée selon laquelle le progrès technique est directement à l’origine de destruction d’emplois, et donc du chômage, est communément admise. Or, si l’on compare l’Europe à nos principaux concurrents, les Etats-Unis et le Japon, où l’investissement dans la recherche et le développement technologique est beaucoup plus important, nous pouvons y constater un chômage moins élevé qu’en Europe.
Quelles sont donc les véritables conséquences du progrès technique sur l’emploi ?
A-t-il seulement un rôle destructeur ?
I Les effets quantitatifs du PT sur l’emploi
1 A court terme
A court terme, il est évident que le progrès technique détruit des emplois. L’achat de nouvelles machines plus productives réduit le nombre d’emplois nécessaire car il augmente la productivité du travail. Ainsi, pour un niveau et un temps donné de production, une augmentation de la productivité engendrée par le progrès technique, réduit l’emploi disponible. Cette conséquence disparaît si l’on profite de cet accroissement de la productivité pour réduire le temps de travail.
Mais le progrès technique supprime des emplois par un autre système. Pour bénéficier du progrès technique concernant le capital, les entreprises effectuent des investissements, et substituent le capital au travail ; « la machine remplace l’Homme ». Cet effet du progrès technique cause bien-sûr des destructions d’emploi et une hausse du chômage.
Le progrès technique, en modifiant la qualification des métiers crée également du chômage technologique. En effet, avec l’arrivée des machines dans les entreprises, le travail demandé n’est plus le même. Il y a donc une discordance entre la qualification des employés, et celle demandée

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