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1419 mots 6 pages
Le Savant et le politique est la traduction en français de deux textes du sociologue allemand Max Weber, issus de conférences prononcées en 1917 et 1919 à l'université de Munich, Wissenschaft als Beruf et Politik als Beruf. Leur publication par Julien Freund en 1959, précédées d'une longue préface de Raymond Aron, a beaucoup fait pour la réception française de l'auteur.

Les deux textes originels en allemand sont :

La Vocation de savant, ou précisément Wissenschaft als Beruf, dans lequel Weber traite de l'épistémologie de la science, du jugement et du rapport aux valeurs.
La Vocation de politique, ou précisément Politik als Beruf, dans lequel Weber traîte de l'action politique, de son fonctionnement, de sa légitimation, et donne sa célèbre définition de l'État.
Ils permettent l'introduction du concept de neutralité axiologique, qui questionne le rapport du chercheur en sciences sociales à son objet.

Sommaire [masquer]
1 Le métier et la vocation de savant
2 Le métier et la vocation d’homme politique.
3 Autre
4 Références
5 Voir aussi
5.1 Liens externes
Le métier et la vocation de savant[modifier | modifier le code]
L’essor du capitalisme allemand s’étend au monde scientifique. Ainsi le scientifique se retrouve coupé de ses moyens de productions et rentre dans une forme de précarité. Le savant tire ses recherches de l’inspiration, qui serait comparable à l’intuition de l’artiste. Mais « elle ne jaillit pas quand nous le voulons, mais seulement quand elle le veut. » L’inspiration ne se commande pas mais il est néanmoins nécessaire de s’entraîner à savoir, de « penser sans arrêt devant notre table de travail » Les relations entre scientifiques ne sont pas comparables à celle du monde artistique. On ne peut pas dire qu’un chef d’œuvre dépasse un autre car cela est question de point de vue. À l’inverse le scientifique surpasse les recherches d’un autre tout en sachant que tôt ou tard un autre le surpassera à nouveau. « Toute œuvre scientifique achevée

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