Gteghtrheth
Tout d’abord, je pense que gagner sa vie est une chose devenue essentielle de nos jours. Tout se monnaye ce qui veut dire que sans argent on ne peut plus rien acquérir que par le don qui se fait de plus en plus rare
Ensuite, selon moi une des manières de ne pas « perdre sa vie à la gagner » et d’exercer un métier en accord avec nos envies et nos idéaux afin de ne pas avoir à subir les remontrances d’un patron imbus de son pouvoir ou encore à recourir à des pratiques contraires à ce que l’on est et ce que l’on pense. Par exemple, dans le film « Violence des échanges en milieu tempéré » de Jean-Marc MOUTOUT qui traite de la soumission de l’entreprise aux lois du marché. Philippe, jeune diplômé dune école de commerce est alors tiraillé entre d’une part Hugo (son supérieur hiérarchique) qui le pousse de manière autoritaire et froide à rentabiliser l’entreprise au maximum et donc à licencier et d’autre part Eva (sa petite amie) qui trouve les pratiques d’Hugo inhumaine et s’interroge sur les conséquences humaines de ses actes. Le travail peut alors être assimilé à une prison qui fait tout pour qu’on ne le voit pas telle quelle en nous proposant des augmentations, en nous promettant de monter l’échelle sociale de ces gens qui ont une importance et des responsabilités. Mais qui ne voudrait pas être respecté pour le travail qu’il fourni ? C’est cela qui nous pousse à toujours donner plus pour souvent ne pas recevoir en retour ce que l’on espérait.
D’un autre côté, le travail rend libre de par l’argent qu’on y gagne qui nous permet de faire (selon nos moyens) ce que l’on veut et surtout nous permet d’être indépendant des autres.
On a beau dire que « l’argent ne fait pas le bonheur » mais celui-ci y contribue fortement dans la société dans laquelle nous