Guerre d'algérie
I) « Liquidation de la crise clôturée par les lois d’amnistie »
1) L’histoire c’est une discipline de la mémoire, il suffit de mémoriser pour la maîtriser tandis que la mémoire est un patrimoine mental, une ensemble de souvenirs qui permettent la cohésion d’individus dans une société et peuvent même inspirer leurs actes présents.
2) Crime contre l’humanité : nouveau chef d’accusation définis lors du procès de Nuremberg comme étant « l’assassinat, l’extermination, la réduction en esclavage, la déportation et tout autre acte inhumain inspiré par des motifs politiques, philosophiques raciaux ou religieux et organisés en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un groupe de population civile. » Juridiquement cette notion peut s’appliquer à cette guerre aujourd’hui car il y a eu des massacres de populations c'est-à-dire des civiles or cela est considérée comme un crime contre l’humanité. Néanmoins en 1961 cette notion n’était pas applicable parce qu’il y avais un vide juridique à cette époque.
3) Lois d’amnistie du 31/07/68 : interdiction de parler de ce qui s’est passé pendant la guerre d’Algérie et aucunes poursuites pénale ne sera effectuées envers les soldats Français.
Ces loi ont été mise en place pour évité la propagation de rumeurs et donc de scandales et pour tenter d’effacer les mémoires.
II) « vient le temps de l’anamnèse, c'est-à-dire une prise de conscience, un retoure progressif sur le passé que l’on avais refoulé »
2) Mémoire des algériens militants, anciens combattants du FLN : En 2001, Paul Aussaresse fait parler de lui car il publie un livre Services spéciaux : Algérie 1955-1957 où il décrit les crimes qu’il a commis lors de la guerre d’Algérie alors qu’il était général de brigade. Ces révélations vont entrainer un scandale à la suite duquel des personnes citées dans le livre seront jugées et condamnées à payer des