analyse d'une oeuvreLa carriérre d’Henri Matisse se laisse diviser en 3 périodes. A la premiére période correspont celle du peintre d’avant garde créateur et chef d’école du fauvisme que le cubisme n’allait pas tarder à detrôner.la seconde a suscité la vision d’un artiste en villégiature pérpétuelle sur la côte d’azur spécialiste en menus plaisir de la rétine, élégant praticien de ce que Marcel Duchamps nommait ,la peinture physique, ayant renonce a l’aventure et obtenu,a ce prix ,les suffrages d’un public bourgois.la troisiéme phase,celle de la gouaches découpées,qui marque un retour a l’exprérimenation la lus hardie a mis à la mode depuis quel que années un Matisse figure titulaire du fomalisme abstrait.Le fauvisme est un courant de peinture du début du XXe siècle. Tiré d'une expression du journaliste Louis Vauxcelles, il débuta historiquement à l'automne 1905, lors du Salon d'automne qui créa scandale, pour s'achever moins de dix ans plus tard, au début des années 1910. En fait, dès 1908, il est déjà à son crépuscule. Son influence marqua néanmoins tout l'art du XXe siècle, notamment par la libération de la couleur. Le précurseur du fauvisme était Henri Matisse, mais d'autres artistes, comme André Derain, Maurice de Vlaminck ou encore Georges Braque en ont fait partie.
Le fauvisme est caractérisé par l'audace et la nouveauté de ses recherches chromatiques. Les peintres avaient recours à de larges aplats de couleurs violentes, pures et vives, et revendiquaient un art fondé sur l'instinct. Ils séparaient la couleur de sa référence à l'objet afin d'accentuer l'expression et réagissaient de manière provocatrice contre les sensations visuelles et la douceur de l'impressionnisme. Matisse a dit : « Quand je mets un vert, ça ne veut pas dire de l'herbe; quand je mets un bleu, ça ne veut pas dire le ciel.