Histoire cinéma
JEAN VIGO (1905 – 1934) : * Né 24 avril 1905 à Paris. Fils d’anarchiste. Mère : Emile Clero ; Père : Miguel Almereyda (Eugène Bonaventure).
Le père était anarchiste et participait activement à la politique en France. Il écrit deux journaux satyriques : Le bonnet rouge et La guerre sociale (interdis par le gouvernement). De ce fait, il s’est fait emprisonner en 1917, puis avait été suicidé mystérieusement. Traumatisme pour Jean Vigo. Il se battra pour savoir pourquoi on a fait suicidé son père.
De 0 à 12 ans, il est bercé dans le milieu anarchiste. Refus de l’autorité, liberté d’expression (mal vu). Confronté au monde des adultes.
Lorsque le père meurt, il reste avec sa mère. Un nouveau choc psychologique pour JV, car sa mère l’a repoussé.
Il a été décidé qu’il irai dans la région de Montpellier faire ses études à Nîmes, puis au Collège de Miaux. Mais il est considéré comme le fils du traite, et donc on lui change son nom en Salles. Il est pensionnaire et en souffre (Il en fera par ailleurs un moyen-métrage : Zéro de conduite). * Dans un journal il parle de cinéma.
Il va au lycée de Chartes, puis à Versailles le Lycée Hoche. En 1925, il s’inscrit à la Sorbonne. Il rencontre des gens du milieu anarchiste, des artistes. Il se confronte à la réalité sociale par rapport au cinéma (le fait de vouloir faire le cinéma un métier était ridicule).
En 1926, il a des problèmes respiratoires. On l’envois a Montpellier. Ça ne s’arrange pas. Il contracte la tuberculose. On l’envois ainsi au sanatorium.
Il va faire deux rencontres au sanatorium. L’un écrivain : Claude Aveline. Il lui propose de devenir son secrétaire. L’autre une fille : Elizabeth ... Jean Vigo en tombe amoureux.
Il remonte donc à Paris. Il épouse Lidou, puis redescend sur cote d’azur avec Lidou pour des problèmes de santé. Il s’installe à Nice pour faire du cinéma. Il travaille au studio de la literine. Il en est mécontent car trop commerciale. Il est