Histoire des arts - poilus
Il s'agit de la sculpture en bronze du "Poilu" intitulé "résistance" On remarque que “sur demande, nous supprimons les lauriers du casque du poilu 853” Monument aux morts 1914-1918 et 1939-1945, square Place Jean Jaurès.Il est installé dans le même square que "le mobile" de 1870.
D'autres artistes ayant repris cette oeuvre, on mit plus de couleurs réelles comme Pradelles :
d'autres rappel les pantalons garance de triste mémoire, Jaulny :
Dans la Loire, contrairement à celui de Benet, ce Poilu a peu inspiré les coloristes. Gris, noir seulement :
document 2 statue 1 & 2 : Un Poilu victorieux de Eugène Bénet 1863 - 1942 né à Dieppe (Seine-Maritime).
Sur la Place de l’église, grimpé sur un socle, un guerrier arborant une moustache gauloise brandit la palme et le laurier. Il porte l’uniforme des soldats de la Grande Guerre, le casque Adrian et l’uniforme bleu horizon. Tout lui a été donné, la croix de guerre, le fusil, les cartouchières, le masque à gaz... Pourtant, une certaine colère semble l'habiter, son poing semble plus proche de la révolt
document 3 statue 1 : Il représente une femme, une mère peut-être, tenant dans ses bras un homme, son fils peut-être, mort au combat sans uniforme. Remarquez l'attitude droite empreinte d'une grande dignité de cette femme. Les périodes gravées sont celles des 2 conflits mondiaux, mais aussi celle de la Guerre d'Algérie (1954-1962) et celle de la Guerre d'Indochine (1945 - 1954).
statue 2 : de Léon-Ernest Drivier 1878 - 1951.
La Mère, représente la ville de Strasbourg, elle tient ses deux fils mourants sur ses genoux. L'un regarde en direction de la France, l'autre vers l'Allemagne. Ils sont tombés après avoir combattu l'un contre l'autre mais devant la mort, ils se donnent la main. L'absence d'uniforme rend le drame de Strasbourg et de l'Alsace encore plus pathétique. La seule inscription sur le monument