Commentaire sur « la révolution industrielle comme révolution technique »

Géraldine Vaughan est maître de conférence à l’université de Rouen. En 2001, elle obtient une agrégation externe d’histoire et en 2007, un doctorat en histoire contemporaine de l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne. Par ailleurs, elle enseigne aussi l’histoire de la civilisation britannique. Le document que l’on va étudier est extrait de son premier ouvrage « Le monde britannique 1815-1931 ». Ce texte est adressé à l’ensemble de la population. Il retrace la révolution industriel britannique du XIXème siècle. Il la compare à « une révolution technique ».
Le plan suivi par Géraldine Vaughan est: - ligne 1 à 27: Les innovations techniques - ligne 27 à 54: Le coton et le charbon - ligne 54 à 79: « les systèmes techniques » - ligne 54 à 98: Déclin du charbon
Quand la révolution technique a-t-elle commencé à produire des effets? Quels en sont les avantages? Est-ce un avantages durables?

Géraldine Vaughan fait référence, à travers cet extrait, a beaucoup d’auteurs ou de personnages connus qui auraient vu « la révolution industrielle comme une révolution technique ».
Tout d’abord, David Landes (professeur d’histoire à l’université d’Harvard et de Washington) qui pense que la révolution a permis trois grande avancée: le remplacement des hommes par les machines, l’arrivée d’une nouvelle énergie: le charbon et l’utilisation de nouvelle matière. Pour cet homme, cette révolution qui traverse le monde « s’apparentait à une libération de Prométhée ». En effet, selon l’histoire, Prométhée a fait tout ce qu’il pouvait pour faciliter la vie aux humains: leur donner le feu, enseigner la métallurgie à l’Homme,.. Ensuite, Géraldine Vaughan parle de Schumpeter. Ce dernier traduit ce « phénomène » en le qualifiant de « grappes d’innovation ». Ces grappes d’innovations pour ce dernier, entraînent des cycles dans l’activité économiques. Pour lui, ces cycles sont des progrès techniques