Histoire démographique et sociale de l'enfance
Les couples se privatisent, les enfants se retrouvent moins nombreux soit 1 a 2 enfants par couple ce qui permet de les valoriser. P. Ariès fais un lien entre le sentiment de l’enfance et la mort infantile. Selon lui, l’affection s’est développée suite à la mortalité infantile qui sévissait la société en général. Au début du XVIII ème siècle, la mort de l’enfant est vécue comme un drame et la perte d’un être cher. Cependant quelques années avant, « ce drame » n’était pas vécu de la même manière. Ainsi, est ce que l’affection que les nourrices ou les mères portent à leur enfant joue un rôle émotionnel sur cette perte ? C’est ce que P. Ariès s’est demandé lui aussi. Lors du XVIII ème siècle et de ces événements tragiques on y retrouve l’affliction …afficher plus de contenu…
Cependant maintenant, l’enfant a acquis une place privilégié dans la société. Ainsi, le monde en général devient obséder sur les besoins de l’enfant que ce soit physique ou psychologique. Cette surprotection joue un rôle dans le sentiment de l’enfance et lorsqu’il grandit se retrouve seul avec l’inexistence de se sentiment.Pour conclure, je dirai que le sentiment de l’enfance est inné chez les familles modernes. Surtout pour les mamans ou les nourrices qui s’occupe toute la journée de l’enfant. Cependant, lorsque l’enfant grandis et reçois une éducation scolaire ce sentiment s’estompe volontairement dans les familles. L’enfant est vu comme un « savoir être » et n’as donc plus besoin de recevoir d’attentions. Toute fois les parents restent attentifs au problème moral et psychologique de leur enfant lorsqu’il s’agit de