Introduction……………………………………………….…p.2
I. L’Histoire, relation de faits bruts ?……………………………………………………………p.2
1) Le sens étymologique du mot histoire…p.2
2) L’histoire : un récit
3) L’histoire « réfléchissante »………………….p.3
4) Le positivisme historique………………………..p.4
II. L’Histoire comme science ?……………...p.5
1) Qu’est-ce que l’histoire ?……………………..p.5
2) Le choix des documents et les hypothèses.
3) Approfondissement et élargissement du domaine de l’histoire
Conclusion……………………………………………………...p.5
Anexes…………………………………………………………….p.6

« S'il est vrai, comme nous aurons à l'établir, qu'un excès de connaissances historiques nuit à l'être vivant, il est tout aussi nécessaire de comprendre que la vie a besoin du service de l'histoire. Celle-ci intéresse l'être vivant sous trois rapports: dans la mesure où il agit et poursuit un but, dans la mesure où il conserve et vénère ce qui a été, dans la mesure où il souffre et a besoin de délivrance. A ces trois rapports correspondent trois formes d'histoire, pour autant qu'il est permis de distinguer entre une histoire monumentale, une histoire traditionaliste et une histoire critique. »
Nietzsche, Considérations inactuelles II, 2

Introduction

Histoire : On distingue trois significations en français:
1) La réalité historique
C'est l'ensemble des faits ou événements qui se déroulent dans le temps, le devenir des sociétés humaines.
2) La connaissance historique.
C'est l'étude de la réalité historique, la connaissance de ce qui a eu lieu, l'explication des faits du passé.
3) Un récit, un conte, une histoire imaginaire.

Le sujet articule les trois sens : la connaissance historique est-elle simplement la narration de ce qui a eu lieu dans le passé?

Thèse à problématiser : L'historien raconte les événements du passé de façon neutre, sans prendre parti.
Cela est-il possible? La formulation du sujet met explicitement cette thèse en question : l'histoire n'est-elle que cela, est-elle le simple récit …?

Problème :