Historique de la sneakers
Retour aux sources
Pour comprendre cette gigantesque folie, il faut revenir au milieu des années 70 à New-York, où nait dans le Bronks un nouveau mouvement culturel : Le Hip-Hop.
La culture hip-hop connaît alors quatre principales disciplines : le deejaying, le rap, le b-boying (breakdance) et le graffiti, et que ce soit pour courir ou pour danser, la basket reste irrémédiablement la plus confortable. La panoplie du parfait breakdanseur se construit petit à petit : Chapeau Kangol, tee-shirt en nylon, jeans et bien évidemment sneakers propres et/ou neuves.
New-York devient la Mecque de la basket, les gens ne se regardent plus dans les yeux, ils se regardent à travers leurs chaussures. Par apagogie, les chaussures deviennent-elles le miroir de l’âme? Il faut croire, les b-boys à l’époque ne voient que par leurs chaussures, qui se doivent d’être en permanence impeccables… Les chaussure deviennent un moyen de distinction sociale et la grandeur d’un homme se mesure désormais à son indice de réflexion (dans le sens physique du terme…) : « plus on brille, plus on assure »
Dans les premiers concerts de quartiers, la plupart des rappeurs portent le look b-boys.
Au moment d’enregistrer leurs premiers disques, la question de l’image qu’ils souhaitaient présenter au grand public, leur à fait faire n’importe quoi! Un mix étrange entre Batman, Freddie Mercury et les Village People (image des Fearless Four ci-contre). Personne ne savait comment le