L’Odyssée est un long poème de plus de 12 000 vers.
L’Odyssée est d’abord un long recit pris en charge par un poète qui invoque la Muse pour trouver son inspiration au début du chant I : O muse, conte moi l’aventure de l’inventif.
Les vers liés à son origine orale et musicale, nourissent l’épopée.

Une aventure maritime a l’aveugle : Même si les érudits ont cherché à tracer su une carte le périple d’ulysse, il est intéressant de montrer qu’Ulysse navigue sans savoir ou il va. Il est certes un marin capable, avec l’aide de calypso, de construire un bateau. Pourtant son savoir ne lui est d’aucune utilité quand il est en mer. Tout son périple se fait sans qu’il le maitrice, au gré du caprice des vents déchainés par les dieux, poséidon en tete. Le récit d’Ulysse est ponctué par le décompte des journées de navigaton. Mais celles-ci sont le fruit du hasard, tant dans la durée que dans la diretion prise par le ou les bateaux.

Le voyage d’ulysse démare sous le signe de la passivité : « loin de troie, le vent m’entrainera chez les cicones »
« ayant dressé le mat et deployé les voiles blanches on se laissa conduire par le vent et les pilotes »

La mer, un espace acceuillant ou repoussant :
Dans l’errance d’Ulysse, la mer occupe une place centrale. Elle est l’élément vers lequel il revient toujours. Si l’on exepte le séjour d’un ans chez Circé et celui de 7 ans chez Calpso, Ulysse passe plus de temps sur l’eau que sur la terre ferme : neuf jours de navigation par ci, six jours par la. La mer est elle acceuillante ou repoussant pour le héros ? les deux a la fois, puisque tantôt elle est un refuge contre la terre et ses monstres « avec joie je fuyais vers le large » dit Ulysse en quittant le pays des Lestrygons, tantôt elle devient elle-même monstrueuse et mortifère quand s’y déchaine les tempêtes.
Ulysse doit affronter 3 tempetes. Elles sont clairement des chatiments infligées par les