Humanisme et renaissance
Après la chute de Constantinople au XVe et XVIe siècle, le monde connaît un renouveau : la Renaissance. Celle-ci sera le berceau de l’Humanisme.
Problématique : En quoi l’Humanisme à la Renaissance est-il une rupture avec le Moyen Âge ?
L’Antiquité est un modèle pour l’Humanisme. Les humanistes estiment tout comme les savants de l’Antiquité que la guerre fait perdre le savoir, ils sont donc pour la tolérance et le pacifisme. La Bible a été traduite par les humanistes en langues « vulgaires » pour permettre au peuple de la comprendre.
L’éducation, au centre de la vie des humanistes, est importante et nécessite d’être révolutionnée pour qu’il y est plus de sciences enseignées, car celles-ci sont aussi très importantes.
Les humanistes et les savants sont d’accord sur un même point : l’homme est au centre de tout, il apprend à se connaître et peut progresser par lui-même.
C’est grâce à cette même opinion que l’humanisme s’est rapidement diffusé.
L’humanisme a vu le jour en Italie, après que des savants s’y réfugient en 54. Les humanistes ont exécuté des voyages entre Rome et Londres pour partager leur point de vue. L’éducation permet à l’humanisme de se diffusé et ainsi de traduire la Bible. Le mécénat permet aux humanistes d’entrer dans le conseil des Rois et donc de donner leurs avis. L’imprimerie voit le jour en 1440, elle permet d’imprimer en plus grands nombreux, le prix est moins cher et donc les livres sont plus accessibles au peuple.
Les humanistes provoquent ainsi la Renaissance.
La Renaissance débute avec de nombreuses découvertes des humanistes, comme la médecine et la géométrie. Léonard de Vinci, utilisera même ces découvertes pour L’Homme de Vitruve.
L’homme est au centre, humanistes et artistes de la Renaissance pense la même chose. Ces artistes, comme les humanistes, s’inspirent également de l’Antiquité.
Par rapport au Moyen Âge, la société