Imaginer un récit d’animaux qui se termine par une « morale ».
« Bonjour Commère ! Comment vas-tu ?
- Bonjour Compère ! Quel honneur me vaut cette visite ?
- Peux tu garder mes enfants temporairement ?
- Bien sûr, à plus tard !
- Merci » Lorsque Compère fut loin, Commère se dépêcha de bondir sur un des renardeaux, elle le saisit dans ses serres et le cacha dans son nid. Le deuxième se demandait quel serait son sort… Et il lui arriva le même sort que son confrère : il se fit attraper et déposer dans le nid. Aussitôt les oisillons se mirent à picorer les renardeaux. Le père qui n’était pas encore bien loin, les entendit hurler et revint voir Commère.
Lorsqu’il vit Commère rire, il comprit et se mit très en colère.
« Commère pour quoi as-tu fait ça ?
- J’avais faim et ils étaient si bons !
- Vas au diable ! Je te hais ! »
Et il fit mine de repartir, mais en réalité, il se cache dans un fourré.
Commère partit au village pour trouver une autre proie. Lorsqu’elle vit sur la place qu’un cochon était en train de griller, elle fonça à toute allure sur ce repas inattendu ; elle arracha un bout de viande qui flambait encore. Elle retourna chez elle, encore plus vite qu’à l’aller car elle se brûlait. Lorsqu’elle passa au-dessus de son nid, elle lâcha sa proie et alla se refroidir les serres dans la rivière qui se trouvait à quelques mètres. Pendant ce temps, le morceau de viande avait mis feu au nid et les oisillons commençaient à paniquer. Puis ce fut le tour de l’arbre qui se mit à