Initiation
En date du 21 Novembre 2010 A 18 heures
Devant la porte d’entrée, de la Grande Loge Nationale Française je me suis fait cacher les yeux.
Puis l’un des Frères me conduisit dans la chambre des réflexions, où l’on m’enleva le bandeau. Ce lieu me paraissait si paisible et si reposant, pendant ces quelques minutes de réflexion j’ai observé les différents symboles représentant les éléments de la vie ; alors j’ai reconnu le sel, l’eau, le pain, le souffre et le crane qui m’ont permis, d’avoir plus de confiance et de vouloir vraiment faire parti de la Fran Maçonnerie.
Quand le Frère préparateur est revenu pour me demander de me dévêtir en parti, il a pris tous les métaux sur moi, m’a fait enlever la chaussure et la chaussette gauche, mettre ma poitrine gauche à l’air, la jambe droite de mon pantalon relevée jusqu’au genou, je me suis senti plutôt mal.
Puis le Frère préparateur me cachait les yeux et m’a pris la main, me conduit je ne sais où… je restais toujours confiant et sans inquiétude.
Malgré le si peu d’information que je connaissais sur la Fran Maçonnerie, je savais que le Frère préparateur ne me conduisait pas quelque part de mal.
En arrivant dans la salle, j’avais la sensation d’être dans un lieu très grand, je savais ce que je voulais, aussi, mes réponses aux questions posées par le maître étaient automatiques, car elles étaient profondes et sincères. En passant les épreuves, j’avais l’impression d’être dans un grand couloir en pleine tempête avec la toiture qui voulait s’envoler, de marcher sur un terrain rempli de pierres, et que si le Frère ne me tenait les mains je serais tombé dans le vide.
Après toutes ces épreuves, le calme est revenu et il me semblait être dans un endroit paisible avec la chaleur, l’odeur de brûlé et la musique douce. J’étais plutôt détendu. Quand le Frère chirurgien est venu vers moi j’étais confiant de me faire prendre mon sang pour me faire signer le parchemin, par contre, le breuvage qu’on m’a