1ère partie : La construction européenne.
On peut se poser 2 questions : Quels type d’organisations va-t-on crée ?
Si ont veut construire des organisations de coopération ou des organisations de construction.
Faut-il simplement coopérer ou s’intégrer ?
La coopération : c’est ce qu’on appel la coopération intergouvernementale ce qui signifie que c’est une coopération entre les gouvernements, entre les Etats, dans ce système les Etats sont souverains, et ils acceptent de coopérer de collaborer sur des questions pour lesquels cette collaboration est utile. Autrement dit c’est ce que l’on appel du pragmatisme. L’OUT (organisation universelle du travail) a un certain nombre de meurs sont adoptés pour faciliter les échanges. Mais cette notion de coopération est limitée de 2 façons. Tout d’abord la coopération porte que sur des sujets précis et limités surtout la notion.
Ce sont des organisations qui garantissent la souveraineté des Etats et qui par conséquent permettent de mener des actions de coopération.
Il ne faut pas confondre unanimité et consensus. Dans l’unanimité c’est le véto, elle peut exister dans le cadre de l’union européenne. Et ceci peut poser problème pour l’adhésion de nouveaux pays à l’union.
Face a ce choix de l’intergouvernemental il ne faut pas confondre les organisations intergouvernementales et les fédérations. En réalité le système confédéral n’existe pas vraiment car ou la confédération réussie cela devient une fédération, et si elle ne réussit sa reste un Etat souverain. A l’est on a la communauté des états indépendants, pays qui faisait partie de l’union soviétique, mais en réalité ce n’est pas une confédération car chaque payes essaient de gardé son autonomie vis-à-vis de la Russie.
Donc dans la pratique la confédération est une structure qui n’a jamais existé.
La seconde possibilité qui s’est présenté après la guerre c’étais de dire qu’on va construire une Europe intégrée. On va construire l’intégration européenne. L’intégration