Interview fictive de victor hugo
Dans quelle famille et quand êtes-vous né Hugo ?
Ah, ma famille ! Je suis né le 26 février 1802 à Besançon à Paris. Mon père était Général de Napoléon. Il était terriblement violent avec notre mère. Notre mère nous aimait beaucoup en revanche. Bref, j’ai grandis à Naples, en Espagne et en France. Ma famille était aisée. J’ai eu deux frères : Abel Joseph et Eugène. Je suis le dernier des trois. Notre père était souvent absent.
Racontez-nous un petit peu votre enfance.
J’ai passé presque toute mon enfance avec ma mère. En 1811, j’étais, avec mes frères, pensionnaire dans une institution religieuse de Madrid. Cela fut terminé lorsque notre mère divorça avec notre père en 1813 et nous nous installâmes à Paris. J’ai passé la majeure partie de mon enfance là-bas. A l’âge de 13 ans, je faisais des vers un peu par ci par là… Je m’amusais à écrire. Ma mère m’a beaucoup encouragée à faire ce métier de poète. C’était une grande vocation de devenir poète. C’est à l’âge de 14 ans que j’ai noté la fameuse phrase que vous connaissez peut être sur un journal : « Je veux être Châteaubriand ou rien ». J’ai donc entamé une carrière littéraire. Avec mes frères, nous avions créé la revue Le Conservateur littéraire. Cette dernière exprimait le point de vue de l'aile ultra-royaliste des écrivains romantiques, mais la revue n’a pas duré. A mes 19 ans, j’ai publié mon tout premier recueil Odes en 1821.
J’ai entendu dire que les 1500 exemplaires ont été écoulés en quatre mois. C’est extraordinaire pour un premier recueil !
Oui, en effet…
Quel a été votre premier amour ?
Mon premier amour a été Adèle Foucher, une bonne amie d’enfance.
Quand l’aviez-vous épousée ?
Je l’aie épousée le 12 octobre 1822.
Qui étaient vos enfants ?
Mes enfants étaient Léopold, Léopoldine, Charles, François-Victor et Adèle.
Quel est votre plus grand combat aujourd’hui ?
Mon combat le plus grand… Je dirai que c’est le combat contre la peine de mort que j’ai illustré