Dans son roman Maria Chapdelaine, paru en 1914, Louis Héron décrit la vie des agriculteurs de Péribonka. L’auteur croit que la vie rurale est bonne pour les Canadiens français; elle leur permet de garder leur identité en tant que francophones et catholiques. A la fin du roman, Maria, l’héroïne du roman, doit prendre une décision quand a ses prétendants; dans un moment d’intense réflexion, elle entend des voix qui lui suggèrent le chemin a suivre. L’auteur, par ces voix, défend les valeurs traditionnelles, ce qui orientera la réflexion : la première voix est associe a la terre, la deuxième a la langue maternelle et la troisième au passe et a la religion.
Idée principale 1 : Il Illustre l’idéologie de conservation avec l’idéalisation de la terre et de la langue
Idée principale 2 : Il Constate l’idéologie avec les traditions et valeurs (passe et culture) (religion) et avec l’opposition ville/campagne (ajouter aussi l’assimilat). ( la terre, de la langue, du passe’ et de la religion)

MariaChapdelaine, paru en 1914, devient un roman à grand succès parmi la littérature québécoise. Écrit par Louis Héron, il raconte le mode de vie des Canadiens français situes dans la région de Péribonka. L’auteur a révolutionné la mentalité de son époque par le réalisme frappant de ses descriptions sur le pays du Québec. Il a surtout illustré et constaté l’idéologie de conservation par le récit d’une jeune paysanne nommé Maria Chapdelaine et son cheminement à travers les dures saisons canadiennes. Maria est confronté à choisir un compagnon de vie et elle doit choisir entre deux personnages qu’incarnent deux milieux complètement différents. Vers la fin du roman, ou Maria doit définitivement fixer son choix, elle est guidée par des voix qui l’appellent à son devoir et à remplacer sa courageuse mère dans ses tâches quotidiennes. Elle renonce à une vie facile et son choix s’arrête plutôt sur Eutrope Gagnon, cultivateur comme son père, pour poursuivre sa destinée au pays. Les voix