Investigation
Mis au point en 1985 par le Britannique Alec Jeffreys, le test d'identification humaine par l'empreinte génétique est couramment employé en criminalistique aujourd'hui, car c'est une méthode fiable qui peut être pratiquée à partir de quantités infimes d'échantillons d'origine biologique (sang, salive, sperme, cheveux...) retrouvés sur la scène du crime.
De nos jours,le test d’identification humaine par l’empreinte génétique , apparue en 1985 grâce au britannique Alec Jeffeys ,est une des techniques les plus exploitées en criminalistique .Le caractère unique de l’adn en fait une des méthodes les plus fiables et qui peu être pratiquée à partir d’une infime quantité d’échantillons d’origine biologique (sang,sperme,salive,cheveux…) récupérés sur la scène du crime .
Cette technique consiste dans la mise en évidence de séquences très spécifiques présentes dans le patrimoine héréditaire de tout individu, et qui le rendent unique. Chez l'être humain, l'information génétique est localisée sur une petite fraction de l'ADN, l'acide désoxyribonucléique, que l'on retrouve dans le noyau de chaque cellule vivante de l'organisme, excepté les globules rouges du sang (ces cellules sont anucléés)
L'ADN se compose d'environ trois milliards de nucléotides qui, en s'enchaînant les uns aux autres en deux brins complémentaires, constituent le chromosome. Les nucléotides sont de quatre types différents représentés par des lettres : A (adénine), T (thymine), C
(cytosine) et G (guanine). Ces nucléotides se succèdent en nombre variable pour constituer des séquences spécifiques qui peuvent se répéter plusieurs millions de fois. Ces séquences, par leur taille, leur nombre et leur disposition, sont propres à chaque personne, et c'est leur "lecture" qui va permettre aux scientifiques de se prononcer sur une identification.
L'empreinte génétique repose sur le fait suivant : bien que deux humains aient une large majorité de leur patrimoine génétique identique, un