Isreal-Palestine
La compréhension des problèmes de règlements du conflit palestinien nécessite un retour en arrière d’environ cent ans, dans les débuts du sionisme, tout autant qu’une analyse de la situation actuelle.
Depuis 1917, suite à la déclaration de Balfour, le projet de création d’un foyer national pour le peuple juif a été entreprit dans la région de la Palestine. Cette région du monde était à l’époque sous le joug coloniale britannique. C’est la pression des riches communautés juives de Grande-Bretagne qui entrainât le gouvernement en place à accorder aux sionistes un territoire de la Palestine et ce, sans la permission des Palestiniens eux-mêmes. Ceux-ci ont conséquemment montré leur désaccord avec cette décision tout en continuant de réclamer leur indépendance sans succès.
Suite à la Deuxième Guerre mondiale et aux sinistres événements qui s’y sont produits, le peuple juif fut dédommagé par l’ONU et par d’autre grandes puissances telles que les États-Unis et l’URSS. L’État d’Israël fut ainsi créé au lendemain de la Seconde Guerre. Peu de temps après, le Royaume-Uni quitta la Palestine.
Les États arabes avoisinants sont tout de suite entrés en guerre contre les sionistes, mais ils ont perdu. Dans les années qui suivirent, soit de 1948 à 1967, la puissance militaire d’Israël lors de multiples conflits armés a fait en sorte que l’État s’impose de manière significative sur le territoire palestinien en plus de pouvoir instaurer des colonies juives en territoires arabes. Après de longues années d’occupation et de rivalité, les Israéliens signent des traités de paix avec leurs voisins arabes. Cependant, ceux-ci n’empêcheront pas la progression des colonies juives, la continuation de l’agrandissement du territoire