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Charlemagne se rend à Saragosse pour combattre Marsile, le roi des sarrasins. Il décide d’envoyer un de ses chevaliers pour dialoguer avec Marsile. Charlemagne choisit Ganelon pour accomplir cette tâche. Roland proteste car il veut y aller à la place de Ganelon. Ce dernier prend cette proposition de Roland pour un manque de confiance de la part des chevaliers de Charlemagne. Ganelon sera finalement choisi pour parler au roi Marsile. Vexé par ce manque de confiance, Ganelon promet de se venger. Arrivé auprès du roi Marsile, Ganelon lui explique que l’armée française sera séparée en deux parties : l’avant-garde tenue par Charlemagne et ses hommes et l’arrière-garde contrôlée par Roland et son fidèle ami Olivier. Par vengeance, Ganelon propose d’attaquer l’arrière-garde et leur chef Roland (leur ennemi commun) et ainsi, Marsile sortira victorieux de se combat. Pendant que Charlemagne passe les Pyrénées pour rejoindre la douce France, les sarrasins tendent une embuscade à l’arrière-garde comme l’avait suggéré Ganelon. Olivier conseille à Roland de sonner du cor pour prévenir Charlemagne, mais Roland refuse ; il pense que ce serait un déshonneur. L’arrière-garde est submergée par les assauts des sarrasins. Roland finit par sonner du cor pour avertir Charlemagne, mais il est trop tard. Ganelon est démasqué par l’armée de Charlemagne, après avoir dit que Roland aurait sonné du cor pour rien, et est considéré comme un traitre. Avant de mourir, Roland essaye de détruire son épée contenant de nombreuses reliques de Saint : Durandal, en vain. De retour en France, Charlemagne propose une Ordalie pour juger Ganelon. Il sera finalement écartelé pour cette trahison qui a conduit à la mort de Roland.