Joanne
Il est le symbole de la coopération entre la France et ses anciennes colonies pour ses partisans ou du néo-colonialisme français en Afrique pour ses détracteurs.
Sa poésie essentiellement symboliste, fondée sur le chant de la parole incantatoire, est construite sur l'espoir de créer une Civilisation de l'Universel, fédérant les traditions par-delà leurs différences. Par ailleurs il approfondira le concept de négritude, notion introduite par Aimé Césaire, en le définissant ainsi : « La Négritude est la simple reconnaissance du fait d’être noir, et l’acceptation de ce fait, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture ».
1945 | | Chants d’ombre, poèmes (Le Seuil) | 1947 | | Les plus beaux écrits de l’Union française (en collaboration) (La Colombe) | 1948 | | Hosties noires, poèmes (Le Seuil) | 1948 | | Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache de langue française, précédée de Orphée noir par Jean-Paul Sartre (PUF) | 1949 | | Chants pour Naëtt (Le Seuil) | 1953 | | La Belle Histoire de Leuk-le-Lièvre (en collaboration) (Hachette) | 1956 | | Ethiopiques (Le Seuil) | 1961 | | Nocturnes, poèmes (Le Seuil) | 1962 | | Pierre Teilhard de Chardin et la Politique africaine (Le Seuil) | 1964 | | Liberté 1 : Négritude et Humanisme, discours, conférences (Le Seuil) | 1971 | | Liberté 2 : Nation et Voie africaine du Socialisme, discours, conférences (Le Seuil) | 1973 | | Lettres d’hivernage, poèmes (Le Seuil) | 1977 | | Liberté 3 : Négritude et Civilisation de l’Universel, discours, conférences (Le Seuil) |