Journalier
Elle jouait son rôle de parfaite épouse à la perfection. La maison était toujours impeccablement propre et ranger, elle était une excellente cuisinière et une mère formidable pour deux adorables enfants. Elle aider son mari à faire sa comptabiliter et le conseiller dans ses choix.
Elle avait épousé cet homme uniquement pour sa brillance et son argent car elle venait d'une famille modeste, avait connu la misère et voulais oublier à jamais. Mais c'était un homme séduisant auquel elle s'était tout de même attachée. Elle essayait d'exister à ses yeux et faisait tout pour qu'il la remarque de par son comportement. Ils ne partageait aucune complicité et ne parlait que lors du dîner. Elle lui savait de nombreuses maîtresses mais ne disait mot. Elle souffrait de son indifférence et sa seule vengeance était de dépenser. Les jours où elle était au plus mal ou juste énerver ou mélancolique elle s'offrait une virée dans les magasins et acheter tout ce qu'il lui plaisait, plus le prix était élevé, plus son achat compensait sa tristesse. Elle pouvait dépenser des milliers en une heure seulement sans aucuns regrets.
Mais plus le temps passait plus les sommes devenait presque inimaginables et son mari ne réagissait pas, jamais. Il s'occupait de ses affaires, de son travail qu'il lui demandait beaucoup de temps.
Elle s'ennuyait la journée lorsque ses enfants étaient à l'école et sa maison ranger et le repas préparé d'avance alors elle sortait et elle dépensait. La maison déborder de meubles, de décorations inutiles, de tableaux achetés aux enchères pour des sommes exorbitantes. Sa penderie était pleine portant sur une surface de cinquante mètres carrés, on pouvait y compter plus de 800 paires d'escarpins allant de chanel à louboutin en passant par dior et prada. Tant de materialisme qui ne lui servait guère car