Justice pensees de pascal
Notion large qui recouvre l’Institution judiciaire, ses représentants, mais aussi aborde les problèmes du droit légitime, de la possession, de la tyrannie, de la force et rejoint le problème de la faiblesse du jugement et de la raison, et celui des coutumes sociales et du respect dû aux grands, au roi.
|Vanité | |
|18 : « Il demeure au-delà de l’eau » |→Formule allusive : effet mystérieux qui frappe d’absurdité la |
|19 : on juge mal (série de contradictions qui prouve la relativité |notion de justice |
|et la variabilité du jugement humain) |→style persuasif (phrases binaires et antithèses : tout et son |
|26 : les biens ne sont pas fondés en justice. « Nous sommes |contraire) |
|incapables de vrai et de bien » |→possessions + déduction générale |
|41b-c-d : ex du magistrat « dont la vieillesse vénérable impose le | |
|respect à tout un peuple » et est distrait de l’essentiel par des |→ série d’exemples et d’anecdotes à dominante ironique ; caricature |
|détails futiles. Ex de l’avocat dont le jugement est faussé par |des représentants de la justice. Puissance de l’imagination. |
|l’intérêt. Force de l’imagination que les représentants de la |Paradoxe : Pascal frappe l’imagination du lecteur… |
|justice ont bien comprise : « Leurs robes rouges, leurs hermines | |
|dont ils s’emmaillotent en chats-fourrés… » |