Justice
Pour ma part j'ai abordé un point de vue subjectif j'ai été aussi Pour la fesse , j'ai reçu des fesses pour quoi un enfant y échapperait mais j'avais tord c'est absurde de fesse son enfant car nos parent nous l'on fait . La fessée ne réglerait pas le problème des parents qui se sentent soudain dépassés. A un moment, quand le parent se sent débordé, il ne sait plus trop ce qu'il peut autoriser ou non à son enfant, qui lui est sans limites dans son exploration. Or, plus un parent est affaibli dans ses certitudes, plus il est fragilisé et perd sa sécurité intérieure. Il peut alors passer d'une éducation rigoureuse à une éducation rigide. Petit à petit, les parents vont arrêter de parler à leur enfant et lorsqu'on rompt avec les mots, on va vers le corps. Quand on ne parle plus, on ne pense plus. Un dérapage, cela arrive, mais la question, c'est : « qu'est-ce que je fais de ce dérapage ? ». Dire « excuse-moi, ça m'a dépassé », c'est sortir du rapport de force, c'est signe qu'il y a encore quelque chose à partager. Il faut garder la juste distance pour éviter la rupture. "Toutes les études montrent que les enfants qui reçoivent des fessées ou des claques sont plus sournois, agressifs et ont moins d'estime d’eux-mêmes. Je ne culpabilise pas les parents qui donnent des fessées, car nombreux sont ceux à en avoir reçu quand ils étaient petits et à avoir entendu qu’ils l’avaient bien mérité. Mais ils ne doivent pas continuer car aujourd’hui, nous sommes informés sur les conséquences de ce geste. Lorsque vous levez la main sur votre enfant, vous avez déjà perdu votre autorité. " La fessée ne présente aucun intérêt éducatif car elle ne répond pas à la question que l'enfant peut se poser après sa bêtise : « Pourquoi ce que j'ai fait est interdit ? ». Il n'en saura pas plus après et sera donc amené à recommencer. Il risque également d'intégrer la violence dans son mode de fonctionnement