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3276 mots 14 pages
En particulier, Aristote en fait le « Souverain Bien », c'est-à-dire la fin dernière de toutes les actions humaines.

Chaque activité poursuit un but : la santé pour la médecine, la victoire pour la stratégie, etc. Aristote se demande donc s'il n'existe une chose qui soit la fin dernière de tous nos actes, qui ne soit pas « désirable en vue d'une autre chose » mais uniquement en elle-même. La seule fin de ce genre est le bonheur : même l'honneur, le plaisir ou l'intelligence sont des fins en vue du bonheur. Le bonheur est donc la fin suprême de toutes nos actions.

« Le bonheur est quelque chose de parfait et qui se suffit à soi-même, et il est la fin de nos actions. »

Éthique à Nicomaque, Aristote, IVe siècle avant J.C.
De même, Pascal insiste sur le fait que la quête du bonheur est universelle. Même les hommes qui se pendent ou qui partent à la guerre le font en vue du bonheur.

« Tous les hommes recherchent d'être heureux. Cela est sans exception, quelques différents moyens qu'ils emploient.

Pensées, Pascal, 1669
BBonheur, plaisir et joie
1L'hédonisme
Souvent, on voit le bonheur comme la satisfaction complète des désirs : le bonheur serait donc un état de plaisir total.

C'est notamment la définition du bonheur donnée par l'hédonisme. Cette philosophie fait en effet du plaisir la valeur suprême, le but de la vie. Or le plaisir est conçu comme ce qui accompagne la satisfaction de tout désir.

L'hédonisme est une doctrine philosophique grecque selon laquelle la recherche du plaisir constitue l'objectif de l'existence humaine.
Pour Calliclès, personnage du dialogue le Gorgias (Platon), le bonheur est ainsi dans la satisfaction de tous les désirs sans aucune limite : « il faut entretenir en soi-même les plus fortes passions au lieu de les réprimer […] ; Le luxe, l'intempérance et la liberté, quand ils sont soutenus par la force, constituent la vertu et le bonheur ».

Cependant, Socrate s'y oppose et illustre son propos par la célèbre image des

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