La belle époque 1890/1914
La violence urbaine est une formes de violence collective des jeunes ont lieu dans des espaces publics de la banlieue de ville. Ces formes de violences sont faiblement organisées et doivent être distinguées de la délinquance des mineurs. La violence urbaine va du plus simple vandalisme à l’émeute et à la guerre urbaine ; elle passe par une grande diversité de formes. Ces formes de violence sont dues souvent à cause de la razzia dans les commerces ; les rodéos de voitures volées ; le racket et la dépouille ; les rixes entre bandes ; les provocations et les injures verbales ou les gestuelles contre les adultes du au voisinage et les agents des institutions ; les agressions physique ; le trafic de commissariat et de bâtiments publics ou encore les saccages et les pillages divers… La question des violences urbaines est ancienne : il y a eu des émeutes urbaines à Chicago (1919), Harlem (1935), dans diverses villes de USA ( 1943), à Watts et Détroit (1962), à Los Angles (1992) - pour cette dernière émeute, il faut noter que la communauté chinoise est intervenue violemment pour mettre fin aux pillages des bandes d’afro-américains. En France, la première émeute date de 1981 aux Minguettes qui est une banlieue de Lyon, puis à Vaulx en Velin (1990), Sartrouville et Mantes-la-Jolie (1991), Toulouse le Mirail et Montauban (1999) Quant à Strasbourg, les émeutes sont périodiques (quartier Cronembourg).
D’où vient la violence urbaine ?
Les principale cause de la violence urbaine sont du a l’urbanisme et au chômage. Depuis le surgissement du problème des banlieues, en 1981 avec les rodéos des Minguettes, toute une série de modifications a affecté les représentations des commentateurs et hommes politiques ainsi que les modalités des actions publiques destinées à y faire face. L’apparition et le succès de la catégorie de la violence urbaine, comme disposition de perception et d’action politique en sont un des signes majeurs.
Un des malaises