La bonté
L’être humain est –il naturellement bon ….
Pour Rousseau l’homme est bon c’est la société qui le corromp. Premièrement, Rousseau suggère l’origine de l’homme. Selon Rousseau, pour comprendre l'origine de la corruption de l’homme, il faut retourner à la "première origine, et voir l'homme tel que l'a formé la nature. L’homme agit toujours selon des principes certains et invariables. Rousseau aborde ce qu'il appelle «les premières et plus simples opérations de l'Âme humaine». «Les plus simples opérations de l'âme humaine sont antérieures à toute réflexion». L’homme, comme l'animal, agit grâce à ses facultés naturelles. Ses opérations guident l'homme dans tous les choix qu'il doit prendre. Les seuls biens qu’il connaisse dans l’univers sont la nourriture, une femelle et le repos ; les seuls maux qu’il craigne sont la douleur et la faim. Enfin Rousseau s’appuie sur la pitié. La pitié, écrit Rousseau, «nous inspire une répugnance naturelle à voir périr ou souffrir tout être sensible et principalement nos semblables ».Aujourd’hui cette thèse se manifeste durant l’enfance, car l’enfant est pure jusqu’à ce qu’il se socialise. Pour la pitié, il y à plusieurs organisme qui on comme mission d’aider leurs semblables.
Pour Hobbes l’homme est naturellement mauvais. L’état de nature. L’homme se distingue de l’animal par la raison, la curiosité et la religiosité. Lui-même il est rationaliste, matérialiste et athée. Homo homini lupus: L’homme est un loup pour l’homme. Le plus faible peut tuer le plus fort. Guerre tous contre tous. Voilà comme Hobbes voit la nature de l’homme. Cet état est fondamentalement mauvais, ne permettant pas la prospérité, dans le commerce, dans la science, dans les arts et dans la société. Aujourd’hui, cette thèse se manifeste dans les guerres, la politique et dans la société en générale, car la raison amène l’individualiste et à l’égocentriste.
Rousseau a une vision idéale de la société alors que Hobbes a une vision pessimiste de la